L’oxygénothérapie

L’oxygène, c’est la vie, mais c’est aussi le nerf de la performance. Sans apport suffisant d’oxygène, un sportif ne peut tenir une performance au-delà de cent mètres. Pour les épreuves d’endurance, avec forte dépense énergétique, il est indispensable d’emmagasiner beaucoup d’oxygène.

Favoriser le travail musculaire

Quand l’oxygène manque, l’organisme contracte une “dette d’oxygène”. Il consomme alors plus d’O2 qu’il ne le devrait en phase de récupération et celle-ci n’est alors pas optimale. Une mauvaise oxygénation peut aussi être à l’origine de stress, fortement pourvoyeur en radicaux libres, et de troubles digestifs. Le tissu musculaire sollicité au cours de l’effort limite le débit sanguin des autres organes, et particulièrement celui des intestins. Les dommages générés par le manque d’oxygène peuvent être à l’origine du syndrome du leaky gut : la paroi intestinale devient poreuse et laisse passer dans le sang bactéries et virus, provoquant colites, état inflammatoire mais aussi troubles articulaires, tendinites, allergies, problèmes de peau, et troubles du comportement.
On le voit, un apport d’oxygène cellulaire régulier est essentiel pour le sportif. Pour améliorer ses performances et la qualité de sa récupération, il doit donc éviter de se retrouver en situation d’hypoxie. Forts de ce constat, les laboratoires Holistes ont mis au point le Bol d’Air Jacquier, une méthode naturelle, innovante en matière d’oxygénation tissulaire. Il s’agit d’un dispositif de type inhalateur, qui permet de transformer les parties les plus volatiles d’un extrait de résine de pin en porteurs naturels d’oxygène. Inhalées pendant trois à quinze minutes, ces extraits s’attachent à l’hémoglobine, transporteur d’oxygène, et parcourent l’organisme via la circulation sanguine. Puis, ces molécules relâchent l’oxygène qui pénètre dans les cellules. Le processus d’amélioration naturel de l’oxygénation tissulaire débute et il peut durer plusieurs heures, sans risque d’hyper-oxygénation puisqu’il ne s’agit pas d’inhaler plus d’oxygène mais de permettre aux cellules de mieux récupérer l’oxygène circulant dans le sang ! Pas étonnant que de nombreux sportifs comme Cyril Dessel et Amaël Moinard (cyclisme) aient d’ores et déjà adopté le système. Pour Cyril Dessel, les effets sont impressionnants : ” Rapidement après mes premières utilisations du Bol d’Air, j’ai ressenti un mieux-être tant au niveau de la digestion que du sommeil et de ma récupération.» Et les études scientifiques menées en Italie semblent confirmer les atouts de ce produit. Ainsi, le professeur Paolo de Cristofaro a mis en évidence que la fréquence cardiaque tendait à diminuer après l’usage de Bol d’Air alors que le volume ventilatoire augmentait. Alors pourquoi ne pas essayer !